Le retour du sport-touring en Boxer chez BMW
NOUVEAUTE 2015 Le constructeur allemand présente au salon Intermot une R 1200 RS, avec le moteur « liquide » de la GS
[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]BMW nous dit qu’ils ont été les premiers, en 1976, à proposer dans leur gamme une moto du type sport-touring, la R 100 RS, avec semi-carénage fixé sur le cadre et mis au point en soufflerie. Au fil des évolutions, elle est devenue la R 1150 RS, puis a disparu de la famille vers 2005. Sa cousine plu sportive, la R 1200 S, a quant à elle disparu en 2008. Et voici la RS qui nous revient à l’occasion du salon de la moto Intermot 2014 à Cologne, en Allemagne. Elle porte toujours le patronyme RS, mais ce n’est plus la même bécane.
Le moteur boxer bicylindre à plat est devenu partiellement refroidi par liquide, comme sur les GS, GS Adventure et RT de dernières générations. Il développe la même puissance maximale de 12 chevaux, et le même couple maximal de 125 Nm. Des valeurs plus que respectables. BMW explique qu’il y même un surplus de couple aux bas régimes, grâce notamment aux motifs apportées au système d’échappement et au conduits d’air du moteur.
Le demi-carénage est compact, asymétrique comme pour toutes les BMW récentes, mais de manière moins prononcée. Il est réglable à la main en hauteur. Le châssis est particulier à ce modèle, mais toujours avec le moteur comme élément porteur. Côté suspensions, on retrouve l’indétrônable cardan avec cantilever à l’arrière, le bien connu Paralever dans sa dernière version EVO, mais le non moins célèbre système antérieur Telelever, qui sépare les fonctions de guidages de celles d’amortissement, a disparu. En lieu et place, la RS utilise une fourche télescopique inversée traditionnelle, inspirée semble-t-il de celle qui équipe la supersportive S 1000 RR et la classique néorétro R NineT.
D’origine, la nouvelle venue offre l’ABS, un freinage haute de gamme, un antipatinage simple (ASC), deux modes électroniques de gestion du pilotage, Rain et Road, plus des roues forgées légères et un tableau de bord à technologie TFT, riche en informations.
Les options, d’usine ou après fabrication, incluent deux modes de gestion supplémentaires, Dynamic, et User (personnalisante), couplés à n contrôle de traction qualifié de dynamique, plus sophistiqué que l’ASC de base, et la dernière version du système électronique semi-automatique de suspensions, l’ESA dynamique, avec là aussi deux modes, qui permettent à la moto d’adapter elle-même les réglages aux conditions de roulage. Et on peut encore ajouter un assistant au changement de vitesses, qui autorise de tels changements sans avoir recours à l’embrayage, en montant comme en descendant les rapports, ainsi qu’une clé à transpondeur qui fait que l’on peut démarrer sans devoir insérer quoi que ce soit dans le contacteur. Deux couleurs sont disponibles, et l’on ne connaît pas encore le prix de ce bijou…
Par Jérôme Ducret, source comm. BMW
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