Nouveaux coloris et première salve de machines Euro 4 chez Yamaha pour 2017
En attendant l’annonce des nouveaux modèles ou d’évolutions sensibles de modèles existants pour l’an prochain, la firme aux trois diapasons annonce l’arrivée de nouvelles teintes pour les MT-07, MT 125, R 125, Tracer 900, Super Ténéré et XVS 950. Plus leur conformité, et celles des R1 2017, aux nouvelles normes Euro 4. Sans plus de détails.
A une semaine de l’ouverture du salon international de la moto, du cycle et du scooter de Cologne, Intermot 2016, les constructeurs annoncent déjà leurs modifications mineures pour 2017. C’est le cas de Yamaha, qui vient de préciser les nouveaux coloris disponibles sur ses moto des familles Supersport, Hyper Naked, Sport Touring et Sport Heritage. Plus la date à partir de laquelle on pourra tenter d’obtenir en ligne un des rares exemplaires de la très exclusive R1 M (ce sera le 11 octobre, sur le site).
Côté couleurs, on note l’arrivée d’un joli Yamaha Blu (ou Blue, il doit y avoir des fautes d’erreurs dans le communiqué) pour la MT-07, la MT125, la Tracer 900 et la Super Ténéré. Ce n’est pas le Race Blu, il y a plus de bleu et il est différent dans cette nouvelle déclinaison. Le Tech Black vu sur la Tracer 700 est adopté par la MT-07 et sa petite soeur 125, ainsi que par la Super Ténéré et la XSR 900.
Au passage, la MT-07 a droit à un Competition White assez classe, avec de nouveaux graphismes sur les flancs de réservoir, que l’on retrouve sur d’autres Hyper Naked. La version gris et jaune fluo perdure bien évidemment.
La Sport Heritage XV 950 R est disponible dans un nouveau gris, avec, nous dit Yamaha, une effort supplémentaire au niveau des finitions générales de la moto.
Et pour finir, comme il se doit, on précise que tous ces modèles 2017 sont bien sûr conformes aux nouvelles normes Euro 4. C’est une bonne nouvelle pour la XV 950, dont le moteur est encore refroidi par air. Mais ce n’en est pas une pour ses soeurs air-cooled que sont la XJR et la SR, qui disparaissent du catalogue 2017. Pour les amateurs, précisons qu’en Europe il sera encore possible d’en vendre quelques-unes l’an prochain. Et que pour la Suisse, c’est la date d’importation qui fait foi, pas celle d’immatriculation ou de vente. Tous les stocks de ces modèles achetés par l’importateur suisse Hostettler, jusqu’à la fin de cette année, sont donc vendables l’an prochain.
Et puis la norme Euro 4 s’applique donc enfin à la supersportive R1. Sur la fiche technique, aucune différence de poids ni de puissance maximale. Mais on peut peut-être s’attendre à des courbes de puissance et de couple un peu différentes. Yamaha ne communique pas sur ce point.
Il est encore une information importante qui transparaît de cette liste de coloris 2017. On peut en déduire l’arrivée de nouveaux modèles qui n’y figurent pas. Dont la sportive R6 nouvelle, déjà annoncée dans un teaser vidéo. Dont aussi, et Yamaha n’en parle pas pour l’instant, de nouvelles versions de certains scooters. On pense au TMAX, notamment.
La suite mardi prochain au salon Intermot 2016 de Cologne, en Allemagne.
Bonjour, tout d’abbord merci pour ce que vous faites !
J’aurais voulu savoir si vous avez effectué un essai de la Yamaha XSR700 de 2017 ? Si oui, où puis-je trouver votre « compte-rendu »?
Meilleures salutations
Bonjour Julien
Cela fait plaisir de lire votre message! Et pour répondre à la question, non, nous n’avons pas réalisé un « vrai » test de la XSR 700 2017 ou après 2017. Ce que je peux vous dire, pour l’avoir empruntée durant quelques kilomètres seulement, c’est que le moteur est identique à celui de la MT-07. Et qu’il n’y a plus une véritable différence au niveau suspensions depuis les petites corrections apportées par Yamaha sur la MT-07 à partir de 2017, justement. Avant cela, les suspensions de la XSR étaient plus fermes que celles de la MT-07. Ce n’est plus le cas. Et côté freinage, pas de différence non plus. La position de conduite est par contre différente, avec surtout une selle plus haute.
En espérant vous avoir aidé un tant soit peu
Meilleures salutations motocyclistes
Jérôme Ducret, rédacteur responsable