Comparo: gants chauffants de Racer, iXS et Five
Nous avons comparé durant plus d’une semaine trois gants avec batteries de trois marques différentes: les Tour LT Heat ST du suisse iXS, les HG1 et les Heat 4 des français Five et Racer. En y ajoutant pour faire bonne mesure, mais seulement durant une journée, les Progress RTX DL connectés du hollandais Macna.
Le Heat 4 de chez Racer Gloves vient d’une marque française qui est présente sur sol suisse seulement depuis quelques années, mais qui existe par contre en tant que marque depuis le début des années 1980′! C’est l’un des trois gants chauffants que nous avons voulu mettre à l’épreuve cet hiver. A l’image du comparatif que nous avions déjà réalisé l’an passé, et qui mettait aux prises le HG1 du fabricant français lui aussi, Five, le IT Aso connecté du Français (toujours) Ixon, et l’opulent Excess-Pro de l’italien (racheté par une marque hollandaise) Klane.
Cette fois-ci, pour 2022, seul est resté le HG1 WP de Five, dans sa dernière déclinaison. Il faut bien varier à la fois les plaisirs et surtout les marques. Le marché des gants de moto chauffants est en effet en pleine expansion. Et nous avons donc ajouté un modèle de la marque suisse iXS, le Tour LT Heat ST, qui vit sa deuxième année d’existence sous cette forme, et qui se distingue d’emblée de jeu par son prix intéressant: 289 francs pour une paire avec les batteries et le chargeur.
Ces deux concurrents directs se sont donc mesurés au Heat 4 de chez Racer. Le seul du trio que l’on peut (en option) brancher sur la batterie ou la prise de courant de la moto. Utile pour ne pas être limité par l’autonomie des batteries séparées.
Notre test, avec trois essayeurs aux mains de tailles et de formes différentes, a duré une bonne semaine, entre usage quotidien et balade en campagne, par des températures allant de juste au dessus du zéro degré Celsius à quelque 8 degrés. Pour avoir une base de comparaison fiable, nous avons comparé la durée de chauffe maximale le même jour avec les trois paires de gants, sur le même trajet, avec les gants réglés sur l’intensité maximale. Ou plus exactement sur l’intensité comparable la plus élevée. Contrairement aux Five et aux iXS, les Racer disposent en effet non pas de trois intensités de chauffe, mais de quatre, avec un mode dit « Boost » qui donne encore un surplus de chaleur mais raccourcit notablement la durée de chauffe en continu.
Et pour offrir un aperçu encore plus complet du marché des gants chauffants, nous avons aussi pu tester, mais seulement sur une journée, les Macna Progress RTX DL, qui représentent un segment plus premium dans le monde actuel des gants chauffants, avec des fonctions Bluetooth connectées. Mais pour un prix logiquement plus élevé: 259 francs pour les gants, sans les batteries ni le chargeur (de 129 à 159 francs selon l’option choisie). Nous parlerons des Macna, que nous n’avons pas pu tester très longtemps, tout à la fin de ce comparatif.
Notre premier testeur, Jean, possède de solides mimines qui font qu’il a dû prendre du XXL chez Five, et du XL chez Macna. Notre deuxième testeur, qui est aussi notre photographe pour cet essai, Jean-Baptiste, qui a des mains à peine moins grandes, a porté les gants iXS en taille XL. Et le dernier de l’équipe, qui est aussi l’auteur de ces lignes, possède des mains plus fines, ou en tout cas plus petites, et s’est contenté de la paire de chez Racer en taille L.
Les Five HG1 WP
Les HG1 WP (299 frs avec les batteries et le chargeur) semblent les plus souples dans l’absolu. Et ceux qui permettent le plus grand contact sensoriel avec les commandes de la moto: leviers, boutons, poignée d’accélération … ils sont aussi très faciles à enfiler, notamment grâce au zip sur le dos du poignet et le dos de la main, qui permet d’ajuster le gant au diamètre de votre avant-bras et de la manche de la veste. Ce système d’ajustage vient compléter une languette avec velcro faite pour serrer le gant autour du poignet après enfilage, et un soufflet élastique dans les manches assure une étanchéité parfaite contre les courants d’air et les infiltrations d’eau. En plus du traitement des matériaux qui empêche l’eau de pénétrer dans le gant.
La souplesse de ces gants ne signifie pas qu’ils sont dépourvus de protection, bien au contraire. On a des renforts assez costauds sur les métacarpes et sur les premières phalanges des doigts, plus un slider de paume de l’autre côté de la main. avec encore des parties en cuir de chevreau, notamment sur la paume, qui offrent à la fois une bonne adhérence, de bonnes informations tactiles et une certaine résistance à l’abrasion en cas de chute.
Il y a encore de petits détails bienvenus, comme une « lame » en plastique dur sur l’index de la main gauche, baptisée « Clear Vision Pad », et qui est censée vous aider à enlever l’eau qui s’accumule sur la visière de votre casque quand il pleut. Ou comme la compatibilité avec les écrans tactiles des smartphones. Même s’il faut parfois s’y reprendre à trois fois pour effectuer les manipulations désirées, parce qu’on perd forcément un peu de précision quand le doigt est placé dans un gant fait pour l’hiver.
Notre essayeur Jean trouve aussi que le pouce du gant Five est « un peu gros », ce qui rend parfois plus difficile la manipulation des boutons sur les commodos de sa BMW R 1250 RT. Mais il apprécie par contre la présence d’inserts réfléchissants, un plus pour la sécurité routière quand l’environnement est sombre ou qu’il fait nuit.
Pour ce qui est de la fonction de chauffage, elle appelle les commentaires suivants: on sent une agréable chaleur se diffuser dans toute la main, et y rester. On a trois réglages d’intensité à disposition, et, toujours selon Jean, « ce n’est jamais trop chaud, même à fond ». Pour avoir un point de repère, rappelons que notre test comparatif s’est effectué avec des températures extérieures oscillant entre 2 (le matin) et 8 degrés (à midi).
Les HG1 WP ont fourni de la chaleur durant près de 2h30, à plein régime. Ce qui correspond parfaitement aux indications du fabricant. Il va de soi que cela dure plus longtemps si l’on choisit une intensité moindre. Il doit être possible d’aller au moins jusqu’à 4 ou 5 heures de suite. Mais nous n’avons pas testé en même temps que les autres gants. La recharge complète quand il n’y a quasiment plus de jus dans les batteries dure trois heures.
On note que si la visibilité des indicateurs lumineux sur les gros boutons de chauffe (un par gant) est excellente (on sait toujours si le gant est allumé et pour quelle intensité), il manque peut-être un témoin lumineux indiquant le niveau de charge des batteries. Comme celui que l’on trouve chez Racer, par exemple. Ou sur les Macna. Les HG1 WP sont disponibles dans les tailles de XS à XXXL.
Les iXS Tour LT Heat ST
Pour notre photographe Jean-Baptiste, les Tour LT Heat ST d’iXS se distinguent notamment par le peu d’encombrement de leurs batteries, nettement plus plates que celles des concurrents. Et qui plus est « partagées » en deux parties pour chaque gant. Autrement dit, chaque gant a en fait deux batteries, reliées par un connecteur. Une fois les gants enfilés, on oublie complètement la présence de ces batteries. Il n’est par contre pas possible de connecter les gants à la batterie ou à la prise 12 V éventuelle de la moto.
Il a en fait, et de manière plus générale, trouvé agréable le caractère « peu encombrant » des iXS. Et le bon ressenti des commandes de la moto. Et la bonne isolation par rapport à l’air froid et au vent, indépendamment du mécanisme de chauffe. Comme les Five, les Heat ST (nous nous permettons de raccourcir leur nom par gain de simplicité) ont des parties réfléchissantes, ils combinent le cuir (sur la paume, mais pas seulement) et le textile et sont raisonnablement étanches par rapport à l’eau.
L’ajustage par languette de serrage au poignet fonctionne bien, et « on se sent à l’aise », est son verdict côté confort. Les pointes des index sont faites d’un matériau qui permet de manipuler l’écran tactile d’un smartphone. Comme sur les HG1 WP. Et là aussi, il faut cependant une certaine dextérité pour profiter pleinement de cette possibilité. Nous défions quiconque vient d’acheter les Five, les iXS, ou même les Racer qui ont aussi cette fonctionnalité, de composer un numéro de téléphone sur l’écran du smartphone avec les gants enfilés (et nous voulons une preuve filmée)!
Comme sur la Five (mais pas chez les Racer), les Heat ST ont une languette semi-dure faite pour servir d’essuie-glace sur la visière du casque.
Les batteries doubles des iXS ont duré environ 2h30 dans nos conditions d’utilisation (pour rappel, une grosse demi-journée, avec des températures extérieures allant de 2 à 8 degrés, et l’intensité de chauffe réglée au maximum). Ce qui est très correct, ici aussi, et qui va même un peu au-delà de ce que dit le fabricant. Le processus de chauffe, comme chez les deux concurrents du jour, est très rapide, ce qui est un point positif.
« Mais je trouve les indicateurs lumineux pas très visibles, continue-t-il. Les boutons ne sont à mon avis pas assez grands. Quand on appuie pour activer, on ne voit pas immédiatement quelle intensité a été choisie, parce que l’indicateur est caché par le doigt d’activation. Et l’emplacement du bouton, qui fait office de témoin lumineux, fait que je dois lâcher le guidon sur ma Super Duke pour vérifier le degré de chauffe choisi. » Le verdict serait peut-être un peu différent selon la forme et l’emplacement du guidon de la moto, et bien sûr selon la taille des mains et des doigts du porteur de gant. Mais il confirme que dans tous les cas la lumière émise par les gants n’est pas très facile à bien voir quand on roule en plein soleil. « Et sans la chauffe, en dessous des 5 degrés, je trouve que ces gants ne sont pas assez chauds », ajoute-t-il, tout en avouant être un peu frileux des mains.
Côté protection anti-chute, elles sont peut-être un peu moins costaudes que celles des Five et des Racer. Il n’y a pas de vraies coques en dur au niveau des métacarpes et de la paume, ce qui peut réduire la sécurité offert, ou pas, nous ne sommes pas des experts en matériaux. Et nous n’avons bien sûr pas testé en conditions réelles. Les Tour LT Heat ST sont disponibles dans des tailles allant de S à XXXL.
Les Racer Heat 4
Passons à présent aux concurrents de chez Racer! Les Heat 4 sont sans conteste les plus chers de ce trio, à 329 francs avec les batteries et le chargeur. Mais on rappelle que ce sont les seuls que l’on peut brancher sur la batterie de la moto ou sur une prise d’allume-cigare. En achetant bien sûr les câbles pour cela, disponibles dans le catalogue du fabricant français. Il est même possible d’acheter une seconde paire de batteries portatives, identiques à celles qui sont livrées avec les gants, pour augmenter la durée de chauffe. Nous n’avons pas testé, mais on devrait logiquement la multiplier par plus ou moins deux.
Ce sont aussi les seuls qui ont, en plus d’un témoin lumineux changeant de couleur en fonction de l’intensité de chauffe choisie, un indicateur de charge des batteries des gants. Quand celles-ci sont chargées à 100%, on voit trois points lumineux rouges et un petit point vert. Le point vert se met ensuite à clignoter quand on passe en dessous d’un certain seuil, puis il se transforme en point rouge clignotant, puis fixe. A ce stade-là, on sait qu’il faut recharger les batteries.
Chez Racer, du moins sur le Heat 4 qui est leur gant chauffant le plus sophistiqué, on a de plus non pas trois, mais quatre degrés de chauffe à choix. Les trois premiers correspondent plus ou moins aux intensités disponibles chez les concurrents, et sont repérables par le nombre de points rouges allumés (de un à trois). Le quatrième, qualifié par le constructeur de mode « Boost », se distingue par un clignotement des trois points rouges l’un après l’autre. On l’aura compris, c’est là l’intensité maximale, qui va vider les batteries plus rapidement.
En mode 3, la chauffe a duré jusqu’à plus de trois heures durant notre test. Et la chaleur, immédiatement ressentie de manière bien répartie dans l’entier des gants, est agréable, sans qu’on ait une sensation de trop chaud. En roulant, seul le bout de l’index droite, soit celui qui dans la manière de conduire du sous-signé sert à actionner rapidement la poignée des gaz, est un peu plus exposé au froid que le reste de la main. Mais c’est une nuance.
La chaleur est bien retenue à l’intérieur, grâce aux manches longues et larges, à la doublure intérieure en fausse fourrure (comme sur les Five) et aux manchettes intérieures encore plus longues et ajustables avec un cordon double. Cet ajustage est un chouïa moins pratique que sur les Five, quand on doit le pratiquer sur le second gant, avec la première main déjà enfilée dans le premier gant. Cela vient notamment du fait que les doigts du sous-signé ne touchent pas complètement l’extrêmité de l’intérieur des gants.
Le maniement des languettes de serrage au poignet est par contre parfaitement ergonomique. Autre aspect pratique bien vu, comme pour des gants de ski, on peut passer les mains dans des lanières élastiques qui retiennent les gants attachés aus bras quand on sort les mains. Et il est très facile, même avec les doigts dans les doigts du gant, d’actionner le bouton de chauffe, suffisamment large pour cela. Et les indicateurs de chauffe, placés en dessus et en dessous dudit bouton, sont visibles en tout temps.
La protection de la main nous paraît bonne, avec un coque couvrant l’entier des métacarpes, de petites coques placées sur le sommet des articulations médianes des doigts, un slider de paume en dur, et des renforts en cuir. Pas de languette de nettoyage de l’eau, mais on arrive aussi très bien à enlever l’eau de la visière du caque avec le tranchant de l’index. Et comme expliqué plus haut, la fonction tactile (pour manipuler un écran de smartphone) est présente sur la « paume » des index, avec les mêmes limitations pratiques que sur les deux autres paires de gants.
Comme pour les gants iXS, les Heat4 sont disponibles dans les tailles S à XXXL.
Macna, le gant connecté et connectable
Nous n’avons pas eu le temps de tester la durée de chauffe des Progress RTX DL de Macna, équipés de simples batteries amovibles de 7,4 V. Selon leur constructeur, il devrait y en avoir jusqu’à un peu plus de 5 heures, sans que l’on sache sur quelle intensité de chauffe. On peut remplacer les batteries de 7,4 V par des unités à 12 V, qui devraient chauffer plus et durer plus longtemps. On a à disposition 4 degrés d’intensité de base, que l’on peut encore ajuster de plus ou moins 20% via les boutons sur les gants. On peut aussi passer par la connectivité Bluetooth intégrée à ce modèle et par l’app Macna (gratuite) pour régler la chaleur voulue, à distance et sans fil!
Avec un fil, ou plutôt un câble, on peut aussi relier ces gants à d’autres vêtements chauffants de la gamme Macna: veste, pantalon, et même chaussettes! Et le tout, soit à une batterie externe amovible soit, comme chez Racer, à la batterie de la moto ou à sa prise 12 V.
Selon Jean, qui a pu porter les Progress RTX DL, ils sont de loin les plus rigides des quatre paires de gants chauffants que nous avons pu tester pour ce comparatif. Selon le conseiller de vente pour l’équipement du pilote chez Facchinetti Motos (BMW et Yamaha) à Crissier, près de Lausanne, cette rigidité disparaît un peu quand on a porté les gants durant plusieurs jours. Encore une fois, nous n’avons pas eu le temps de vérifier, ayant dû les rendre à la fin de la journée d’essais, contrairement aux autres modèles des autres marques de ce comparo.
Ce côté peu souple va de pair avec un haut niveau de protection contre les impacts. Et sinon les Progress utilisent des batteries qui sont siglées Klane, ce qui s’explique évidemment par le fait que Macna a racheté la marque Klan (devenue ensuite Klane, voir ci-dessus au début de cet article). Ils sont bien étanches, protègent bien contre l’air froid du dehors, et chauffent de manière uniforme sur la main. Et le système d’ajustement est performant, avec un zip sur le sommet de la manche, comme pour les Five. Il y a aussi des inserts réfléchissants et on peut manipuler l’écran tactile d’un smartphone avec ces gants.
La critique nous pourrions formuler, outre la rigidité initiale et le prix plus élevé (de 388 à 418 frs, mais justifié par les fonctionnalités disponibles) est que les témoins lumineux indiquant le degré de chaleur choisi sont peu visibles sous le soleil en roulant. Mais il y a au moins un indicateur de charge restante, comme chez Racer.
Des mises à jour pour très bientôt chez Five et chez Racer!
Nous avons appris de plusieurs sources officielles que les HG1 WP de Fiver et les Heat de Racer allaient avoir droit très prochainement à des mises à jour. Elles devraient inclure des fonctions de connectivité, avec le Bluetooth, à l’instar des Macna. Mais il est difficile de dire quand cela sera fait exactement et à partir de quand ces nouvelles versions seront disponibles sur le marché suisse. On peut parier que cela ne sera pas avant au moins 2023, et peut-être même encore plus tard, au vu des problèmes généraux d’approvisionnement des marchés mondiaux en composants notamment électroniques, causés par la pandémie de coronavirus et persistant.
En attendant, pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site de l’importateur suisse des gants Racer, ZZ-Racing, et/ou directement celui du fabricant français. Et vous pouvez faire de même avec le site de Five, avec celui d’iXS en allemand et avec les prix suisses (ou en anglais et avec les prix en euros), avec celui de Macna et/ou de l’importateur suisse de Macna, BB Moto. Vous avez bien sûr aussi la possibilité d’aller lire directement les sites de nos partenaires dans l’Annuaire suisse des professionnels de la moto, tout particulièrement Motoboutique ou CP Bike à Lausanne, Aplusmoto à Sion, MotoGooDeal à Satigny (GE).
Bonjour super article mais Five est une Société française dont le siège social est basé à Avignon.
Pour ce qui est du témoin avec le niveau de charge, sa arrive avec de belles évolutions sur la gamme HG dès septembre avec la nouvelle collection Winter 2022-2023 que vous pourrez volontiers essayé 😉
Salutations Loïc Parts World
Caramba, vous avez bien sûr raison! C’est corrigé. Rendez-vous alors en septembre-octobre 2022!
Bonne journée
Jérôme Ducret, rédacteur responsable
Bonjour , j’aurais aimé des infos sur les conditions de test, en effet j’ai pas l’impression que c’est vraiment l’hiver dans votre reportage, pas de gelée, pas d’indication de température basse.Car faire un test à 10 ° de gants chauffants, quel intérêt !! pour en avoir testé, je vous assure que les tester à -5, change totalement votre avis et on se rend vite compte de la qualité des produits
Bonjour,
Les conditions dans lesquelles s’est déroulé cet essai sont clairement indiquées dans l’article. Entre 2 et 8 degrés. Un test précédent (il y a un peu plus d’une année) s’était déroulé par des températures oscillant entre -5 et +5, avec notamment les HG1 WP de Five, mais dans une version précédente. Le lien sur ce premier test se trouve également dans notre article.
Et pour ma part, j’ai pu tester les Racer aussi un matin par -2 degrés. Avec exactement les mêmes caractéristiques de chauffe que celles qui sont décrites dans l’article. Le point fort de ces quatre paires de gants, une fois correctement enfilés, c’est l’isolation, qui empêche que la chaleur ne s’échappe du gant.
En espérant avoir pu vous renseigner. Continuez à nous lire et à nous encourager!
Très bonne journée
Jérôme Ducret, rédacteur responsable